La Bibliothèque de l’Académie nationale de médecine publie aujourd’hui dans le catalogue collectif Calames le volume I de la série « Académie de médecine », de la collection de Maurice Chevassu, après les volumes I, III, V et VI de la série « Médecine » (les volumes II et IV étant vides). Il comprend des documents portant sur 111 personnalités ayant été membres de l’Académie nationale de médecine, classées par date de naissance, d’Antoine Portal (1742-1832) à Joseph Récamier (1774-1852).
Figures fondatrices et espoirs de carrière
Le classeur s’ouvre sur les figures historiques de l’Académie, et contient des pièces d’intérêt tant pour l’histoire de l’Académie que pour les biographies de ses illustres fondateurs. Le Baron Portal demande ainsi au Baron Mounier, pair de France, intendant des bâtiments de la couronne, que l’Académie soit installée à l’Hôtel de Ville, révélant les tensions avec la Faculté de médecine de Paris :
« L’Académie Royale de Médecine ayant été formée pour le Royaume et non pour la faculté de Médecine de Paris, je ne puis m’empêcher de vous renouveler mes instances pour que les séances se tiennent hors de cet établissement. Tous les médecins de France à l’exception d’un très petit parti le désirent.
Le local que vous pouvez nous concéder au Louvre n’étant pas encore prêt, je crois, Monsieur le Baron, que l’Académie Royale de Médecine pourrait tenir ses séances à l’hôtel-de-ville où sont des locaux suffisants très propres. Vous avez eu la bonté de me dire et Monsieur Pariset me l’a répété de votre part que vous le trouveriez très convenable. Voudriez-vous bien, Monsieur le Baron, prévenir Monsieur le préfet de la Seine à cet égard, je ne crois pas qu’il y mette des obstacles. » (n° 1 b)
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Le Baron Portal se soucie également de ses protégés. Aussi griffonne-t-il en 1822, à l’adresse du docteur Peyron, membre du Cercle médical de Paris qu’il a fondé :
« Je vous prie mon cher et honoré confrère de recevoir favorablement M. Pinel [Selon toute vraisemblance il s’agit de Casimir, le neveu de Philippe Pinel]. C’est un très bon sujet auquel je m’intéresse beaucoup. Il désire d’être employé sous vous à la prison de Sainte-Pélagie. Veuillez bien lui accorder ce qu’il désire je vous en serai très obligé. » (n° 1 d)
La recommandation n’a pas de suite, et c’est à l’hôpital du Val-de-Grâce qu’entre Casimir Pinel en 1823, avant de participer à l’expédition d’Espagne la même année [SEMELAIGNE 1912, p. 266].
Il est également question de carrière dans une lettre d’Étienne Pariset qui, quant à lui, aspire en 1825 à la succession d’Esquirol à la Salpêtrière lorsque ce dernier prend la tête de l’hospice de Charenton :
« La place de médecine de la Salpêtrière pour le service des aliénés, est vacante, par la retraite de M. Esquirol, qui passe à la maison royale de Charenton.
Je souhaiterais vivement qu’il me fût permis de passer de Bicêtre à la Salpêtrière, et traiter des folles, après avoir traité des fous pendant sept ans et demi.
Je prendrai la liberté de solliciter cette mutation auprès du conseil des hôpitaux. Vous présidez ce conseil, Monsieur le Comte, et je vous supplie de m’accorder votre appui. Les motifs de cette demande sont bien simples. Je vieillis, j’ai du travail en excès ; et je perds trop de temps par de longues courses. J’ose compter sur vos bontés accoutumées. » (n° 2 c)
Parmi les attestations ou certificats, autographes mais impersonnels, quelques lettres se détachent qui prennent le caractère plus intense des expériences vécues. Nicolas Deyeux écrit ainsi à un correspondant inconnu, à l’occasion de la préparation de la première édition (1818) du Codex medicamentarius sive pharmacopoea gallica. :
« Monsieur Hallé me presse pour lui livrer le manuscrit de la matière médicale du codex. Je viens d’en achever la lecture et ce n’est pas, je vous assure, sans avoir baillé plus d’une fois. » (n° 23 b)
Le 9 juin 1832, Noël Étienne Henry console son fils Ossian d’un échec douloureux :
« Cette année, mon cher Ossian, n’est pas heureuse, rien ne réussit, malgré tes amis ! Il faut attendre, se résigner, un temps plus favorable viendra sans doute. La nouvelle de ce matin m’afflige sans me surprendre, un Ministre aussi haineux, aussi dur que M. d’Argout devait te refuser. Tu éprouves encore jeune l’injustice des hommes prends courage, tu peux tirer parti de tes connaissances ne les néglige pas. Ton père sera toujours ton meilleur ami et saura te dédommager de ce que tu perds. » (n° 24 a)
Ossian Henry est alors directeur du laboratoire chimique de l’Académie royale de médecine, et Antoine comte d’Argout est le ministre du Commerce et des Travaux publics, mais on ne sait pas à quel poste aspirait Henry le Jeune.
Parmi les célébrités glorieuses, on mentionnera un extrait manuscrit autographe d’un rapport de Georges Cuvier (n° 26 a), et un billet de la main de Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, annonçant l’élection de Philibert Joseph Roux contre Gilbert Breschet à l’Académie des Sciences le 10 février 1834. (n° 27 b)
Le Comité central de vaccine
Mais d’autres documents ou dossiers dépassent l’anecdote pour prendre la valeur de véritables sources pour l’histoire de la médecine. Dans ce corpus qui couvre la première moitié du XIXème siècle, la question de la petite vérole et de la vaccination, l’activité du Comité central de vaccine sont ainsi très présentes. La visite effectuée par Jean Jadelot (1771-1855) le 24 brumaire an X (17 novembre 1801), aux côtés de Descemet, Husson et Marin, au chevet d’une jeune malade récemment vaccinée et atteinte d’une « petite vérole discrète » donne lieu à un compte rendu détaillé :
« Nous avons interrogé Madame Daugerat mère de l’enfant et nous lui avons demandé s’il était vrai que son enfant eût été vacciné, et par qui. Elle nous a répondu que son enfant avait été vacciné par le docteur Cottet demeurant rue des Fossés Saint-Jacques, n° 7, que ce dit citoyen s’était servi de lancettes chargées de virus sec, qu’il n’y avait point d’enfant présent sur lequel on ait pris la matière ; que dès le lendemain de l’opération les quatre piqûres étaient rouges comme du corail, que celles du bras gauche se sont effacées, et que ce même jour celles du bras droit se sont élevées, et que le bras était tuméfié et douloureux ; que ces deux boutons étaient ronds, et bombés comme ceux de la petite vérole discrète, qu’ils n’ont point formé de creux ; qu’ils ont été six semaines à guérir, et que pendant ce temps l’enfant a eu de la fièvre et mal sous les aisselles. » (n° 30 a)
Le 16 août 1808, Jean-Baptiste Huzard écrit à Husson une lettre sur l’état de la vaccination dans le département de Loire-Inférieure :
« La vaccine fait peu de progrès dans les campagnes, les deux causes principales sont 1° l’entêtement et les préjugés de toute espèce, si fréquents dans les campagnes et plus encore dans celles de la ci-devant Bretagne. 2° la petite vérole y est assez rare et constamment très bénigne ; on ne fait aucun traitement aux enfants malades.
Il est une troisième cause que quelques personnes raisonnables, et qui connaissent un peu l’espèce humaine, regardent encore comme assez importante sur l’esprit du paysan ; c’est que la plupart des vaccinateurs, pour ne pas dire tous, se font payer pour vacciner, et qu’on ne paye rien pour gagner la petite vérole.
Il est au reste des personnes de bonne volonté, qui ne sont ni médecins, ni chirurgiens, qui vaccinent gratuitement toutes les fois que l’occasion s’en présente, et qui ne manquent pas de publier les bons effets de cette méthode salutaire : je me bornerai à vous citer le régisseur de la Bergerie, M. Lemasne, et surtout son épouse ; ils se sont hâtés de donner l’exemple en faisant vacciner leurs deux enfants, et madame Lemasne a vacciné elle-même, tant qu’elle a eu de la matière et des enfants ; elle fait de temps en temps des voyages à Nantes pour aller y chercher du vaccin, qu’elle emploie dans les communes et les hameaux qui sont autour de l’établissement.
Elle n’est pas moins intelligente pour inoculer des moutons de la clavelée, et en une leçon que je lui ai donnée sur cet objet, elle en a su tout autant que le maître. J’ai cru devoir vous la faire connaître. » (n° 8 b)
Le dossier de Charles Bougon (1779-1851) contient une lettre datée de 1823 donnant un aperçu non moins éclairant sur les problèmes de conservation du vaccin :
« Le préfet du département de la Meuse voulant faire le bien malgré toute résistance vient d’établir des comités de vaccine dans chaque arrondissement, et m’a désigné comme secrétaire du bureau et vaccinateur de canton. Pour remplir cette double fonction je désirerais savoir comment vous conservez le vaccin. Je vous avoue que du jour au lendemain le vaccin sur verre ne m’a jamais réussi et que souvent j’ai échoué avec celui renfermé dans des tubes. D’abord je n’ai jamais pu parvenir à remplir entièrement les tubes, malgré toutes les précautions indiquées dans vos imprimés. J’ai eu beau casser les deux extrémités, raréfier l’air par la chaleur de mes doigts, présenter un des bouts aux gouttelettes de plusieurs boutons ; jamais les tubes ne se remplissaient qu’à moitié. De même pour le vaccin sur verre, j’ai eu beau charger les verres, les bien sceller les entortiller avec du papier noir et les renfermer dans des boîtes garnies de sciure, d’humecter avec un peu d’eau pour l’enlever ; je n’ai jamais pu réussir au bout d’un jour ou deux. Indiquez moi donc mon cher camarade les moyens de réussir, et veuillez en même temps m’envoyer du fluide pour que je puisse commencer ma corvée. Vous obligerez infiniment celui qui se rappelle toujours avec un sensible plaisir ceux qui sentent le terroir. » (n° 14 a)
Vulpian, Farabeuf et l’École pratique de dissection
Le dossier d’Alfred Vulpian, dont les manuscrits sont exclusivement des lettres adressées à Louis-Hubert Farabeuf, ouvre une fenêtre sur la vie de l’École pratique de la Faculté de médecine.
Fondée en 1750 comme École pratique de dissection [HUARD et IMBAULT-HUART 1971] , l’École offrait à des étudiants sélectionnés par concours la possibilité de développer leurs connaissances anatomiques et leur savoir-faire chirurgical. Elle est réformée en 1823, puis l’enseignement qui y est dispensé connaît une régulière désaffection, au point qu’il n’y a plus que 65 candidatures pour 120 places en 1865. Le concours est supprimé en 1871, et des dissections non obligatoires sont supervisées par des chefs de travaux anatomiques mal rémunérés [GUIVARC’H 2003]. En 1876, Louis-Hubert Farabeuf, alors professeur agrégé d’Anatomie-Physiologie-Histologie, présente des projets de réforme dans une brochure dont le contenu est ensuite diffusé dans le Progrès médical [FARABEUF 1876 ]. Ses idées suscitent un large écho et sont contemporaines de la mise en œuvre, par la loi du 12 janvier 1876, du projet de reconstruction de l’École pratique, laquelle s’installe provisoirement durant dix ans, de 1877 à 1887, au 2 rue Vauquelin. En 1878, Farabeuf devient chef des travaux anatomiques, fonction qui le place au cœur des difficultés rencontrées pour l’enseignement de l’anatomie et de la chirurgie : la dissection est devenue obligatoire selon les termes du décret de 1878, mais les conditions matérielles demeurent insatisfaisantes : salles mal aérées et mal chauffées, cadavres mal conservés et en nombre insuffisant, garçons de salle et prosecteurs mal rémunérés, enseignement désorganisé.
Le caractère désormais obligatoire de cet enseignement et l’énergique réorganisation promue par Farabeuf tendent à rendre superflu l’enseignement dispensé par les professeurs libres, autorisés depuis 1813 à dispenser des leçons à titre privé [HUARD et IMBAULT-HUART 1974]. Il en résulte une concurrence tendue entre les enseignants de la Faculté et les professeurs libres.
En 1879 s’ouvre la série des lois scolaire de Jules Ferry, qui rejette tout pluralisme scolaire. Farabeuf, nouvellement élu radical du conseil général de Seine-et-Marne, et qui vient de publier un nouveau plaidoyer en faveur de la reprise en main publique de l’enseignement de l’anatomie [FARABEUF 1879], s’oppose au sein de l’École pratique à Joseph-Auguste Fort. Le 29 décembre, le doyen Vulpian lui écrit :
« J’ai soumis à M. le Ministre les faits relatifs à l’incident qui s’est produit, le 24 novembre dernier, à l’École pratique et qui a été provoqué par M. le Dr Fort.
M. le Ministre a écrit, le 24 de mois, à M. le Recteur qui me l’a transmise, la lettre dont voici copie :
« Des divers rapports que vous m’avez adressés les 8, 10, 12, 13 et 16 décembre courant sur un incident survenu à l’École pratique, et des pièces qui constituent le dossier de cette affaire, il résulte que, le 24 novembre, M. le Dr Fort, professeur libre, a interrompu un examen officiel que M. le chef des travaux anatomiques faisait passer, en vertu de l’art. 6 de l’arrêté du 30 9bre 1878, que M. le Dr Fort a prétendu ouvrir, au moment de l’examen, devant les élèves et à haute voix, une discussion sur l’examen même avec un des juges ; qu’à la suite de cet essai infructueux, il a exhorté à quitter la salle des élèves qui s’étaient fait inscrire pour subir l’épreuve ; qu’à une date ultérieure, M. Fort a demandé au Dr Delange, surveillant à l’École pratique, de lui procurer la liste des jeunes gens qui faisaient partie de la série convoquée pour le 24.
Le fait d’intervenir à haute voix dans un examen universitaire, de la part d’un répétiteur qui prépare des élèves ou d’une personne quelconque qui n’a pas qualité officielle pour participer à l’examen, constitue une faute grave, qui devient plus sérieuse encore quand les élèves sont invités à se prononcer entre le juge régulier et l’intervenant.
Il est aussi inadmissible que communication d’un document officiel soit demandée à un surveillant qui a le devoir de la refuser. L’administration de la Faculté donnera toujours aux intéressés les renseignements qui leur seront nécessaires.
En me bornant, pour cette fois, à blâmer la conduite de M. le Dr Fort, et en ne prenant pas une mesure plus sévère, je veux surtout donner à l’enseignement libre une preuve de l’intérêt que je lui porte.
Je vous prie d’assurer l’exécution de cette décision. »
Je prépare, conclut Vulpian, par ordre de M. le Ministre, un projet de règlement qui évitera le retour des faits regrettables qui se sont produits et qui, tout en donnant pleine satisfaction aux intérêts de l’enseignement libre, rendra à l’enseignement officiel toute sa liberté d’action dont nous avons besoin. » (n° 101 c)
L’incident ne met pas fin au conflit entre Farabeuf et Fort, puisque la lettre suivante, adressée par Vulpian au chef de travaux, en date du 9 novembre 1880, suggère les difficultés rencontrées par les professeurs libres :
« Je reçois de M. le Docteur Fort, la lettre dont voici copie (6 9bre).
« Les affiches apposées par les soins de la Faculté, portent que les dissections commencent le 5 novembre.
Je me suis présenté hier à l’École Pratique, à midi et demie avec une série d’élèves régulièrement inscrits pour disséquer, je n’y ai trouvé que des employés subalternes qui n’ont pu me donner aucun renseignement. Les pavillons de dissection étaient vides, non chauffés ; et il n’y avait aucun sujet sur les tables.
Je demande, Monsieur le Doyen, que la Faculté veuille bien indiquer par une affiche, quel jour doivent commencer les dissections.
Je demande aussi, ayant des élèves qui doivent subir l’examen d’ostéologie, quels sont les jours désignés pour cet examen, afin de les faire inscrire.
Enfin, pour éviter des confusions qui ont eu lieu l’année dernière, je vous prie, Monsieur le Doyen, de vouloir bien recommander à l’employé qui inscrit les élèves à l’École Pratique, de demander aux élèves, sous quelle direction ils désirent disséquer. Les jeunes gens, en s’inscrivant, ne connaissent pas ce détail sur lequel les affiches sont muettes, et ils éprouvent ensuite des difficultés pour changer de pavillon.
Je vous serai obligé de me donner les renseignements nécessaires pour que je puisse répondre à M. le Docteur Fort. » (n° 101 d)
L’affaire se termine mal pour Fort qui quitte Paris pour le Brésil en 1881 [FORT 1893, p. 172-173]. Il tire un peu plus tard de sa carrière interrompue de professeur libre cette conclusion fière mais teintée d’amertume :
« Tout le monde connaît les services que j’ai rendus à des milliers d’élèves abandonnés par la Faculté de médecine.
La Faculté seule a méconnu ces services, et m’en a récompensé en détruisant mon enseignement. Exigerait-elle de la reconnaissance ?
(…)
Comme situation officielle et distinctions honorifiques en France, mon bilan est nul. On ne m’a jamais proposé le plus petit poste officiel, et je n’ai pas reçu la plus légère récompense pour mes travaux. De sorte que je ne dois aucune reconnaissance à la Nation, à moins qu’on ne doive quelque chose à son pays pour y être né et pour y avoir vécu.
Je suis libre et indépendant, je n’appartiens à aucune coterie. Je ne suis ni de la Faculté de médecine ni de l’Académie, et je dirais volontiers ce que le spirituel auteur de l’Immortel [Alphonse Daudet, 1888] et M. Auguste Vacquerie disent de l’Académie : Je n’en voudrais pas être. » [FORT 1893, p. 5]
François Léger
Lien vers l’inventaire :
Références bibliographiques :
[FARABEUF 1976] Louis Hubert Farabeuf, « L’enseignement de la médecine en France », Le Progrès médical, 1976, p. 171-174 ; 211-213 ; 228-230
[FARABEUF 1979] Louis Hubert Farabeuf, « L’enseignement de la médecine en France », Le Progrès médical, 1979, p. 845-851
[FORT 1893] Joseph-Auguste Fort, Le récit de ma vie, avec la description d’un voyage et d’un séjour dans l’Amérique du Sud, Paris, L. Bataille, 1893
[GUIVARC’H 2003] Marcel Guivarc’h, Louis Hubert Farabeuf, enseigneur de génie, rénovateur de l’anatomie pratique, notable républicain, Paris, Éditions Louis Pariente, 2003
[GUIVARC’H 2005] Marcel Guivarc’h, « La réforme Farabeuf de l’enseignement pratique de l’anatomie et de la médecine opératoire. Dix ans rue Vauquelin, 1877-1886 », Histoire des sciences médicales, Tome XXXIX, n° 1, p. 45-57
[HUARD 1969] Pierre Huard, « Joseph-Auguste Fort (1835-1912) le dernier des professeurs libres de l’École Pratique », Comptes rendus du 94e Congrès des Sociétés Savantes, vol.1, 1969, p. 157-162 (non vidimus)
[HUARD et IMBAULT-HUART 1974] Pierre Huard et Marie-José Imbault-Huart, « L’enseignement libre de la médecine à Paris au XIXe siècle », Revue d’histoire des sciences, 1974, vol. 20, n° 1, p. 45-62
[HUARD et IMBAULT-HUART 1971] Pierre Huard et Marie-José Imbault-Huart, « L’École pratique de dissection de Paris de 1750 à 1822 », Annuaire de l’École pratique des hautes études, 1971, p. 841-850
[SEMELAIGNE 1912] René Semelaigne, Aliénistes et philanthropes: les Pinel et les Tuke, Paris, G. Steinheil, 1912.
Pour citer cet article :
François Léger, « La collection Chevassu (IV) », Site de la Bibliothèque de l’Académie nationale de médecine [en ligne]. Billet publié le 28 février 2025. Disponible à l’adresse : https://bibliotheque.academie-medecine.fr/ms-908-1779.



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