La Bibliothèque de l’Académie nationale de médecine a récemment acquis un cours manuscrit de sage-femme à la maternité de Pamiers, datable vers 1878, qui enrichit l’histoire des sages-femmes et de leur formation obstétricale à la fin du XIXe siècle.
Rose Françoise Delpla (Verniolle, Ariège, 16 décembre 1851 – Verniolle, Ariège, 12 février 1924)
L’autrice en est une certaine Rose Rogalle, ainsi que l’indique la première page : « À l’usage de Rose Rogalle éléve à la maternité de Pamiers. » Une recherche effectuée tant dans les annuaires, les délibérations du Conseil général de l’Ariège que dans les actes de l’état-civil a permis de reconstituer, pour partie, les principales étapes de la vie de cette sage-femme.
Rose Françoise Delpla naît le 16 décembre 1851 à Verniolle, canton de Varilhes, dans le département de l’Ariège, d’un père cordonnier.
Elle y épouse, le 8 août 1873, Jean Goumeau, mécanicien, originaire de Lagardelle, de huit ans son aîné. Âgée de 21 ans et demi, elle est alors dite « sans profession ». Le ménage s’installe à Toulouse, où le mari exerce la profession de serrurier. Ils sont domiciliés au 159, avenue de Muret, une grande artère située le long d’un des bras de la Garonne ceignant l’île du Ramier, zone qui fait alors l’objet d’une extension de l’urbanisation pavillonnaire. Jean Goumeau décède à son domicile le 20 janvier 1875, son épouse étant mentionnée comme « ménagère » dans l’acte de décès. Est-ce la perte de son mari, ou bien la fameuse crue du 23 juin 1875 qui ravage son quartier, tout porte à croire que Rose Delpla retourne vivre à Verniolle.
Elle y épouse en secondes noces, le 4 août 1878, un certain Jean Rogale [sic], tonnelier et fils de tonnelier, âgé de 25 ans, né à Montardit, canton de Sainte-Croix. Elle est alors âgée de 26 ans et y figure comme « couturière ». C’est très peu de temps après qu’elle entame sa formation de sage-femme à la maternité de Pamiers. En effet, les rapports de la Commission départementale de l’Ariège et les délibérations du Conseil général du même département indiquent qu’elle y bénéficie d’une bourse :
« Cours d’accouchement. Le subside journalier de 0 fr. 75 a été accordé, à partir du 1er novembre 1878, aux élèves sages-femmes dont les noms suivent, admises au cours d’accouchement :
Rogalle, Rose, de Verniolle.
Rougès, Marie, de Sentein.
Rousse, Marie-Paule, de Montgaillard.
Fangaux, Hermine, de Pamiers.
Séris, Marie, de Vicdessos. » [CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1879 p. 116]
Le manuscrit de son cours peut donc être daté de cette période. On perd sa trace pendant quelques années, avant de la retrouver citée, comme sage-femme exerçant à Verniolle, dans les différentes éditions de l’Annuaire du département de l’Ariège, à partir de l’édition de 1887, et ce jusqu’en 1919, date de sa dernière parution. Rose Françoise Delpla décède dans sa ville natale le 12 février 1924.
Portrait social d’une sage-femme de l’Ariège
À partir de ces quelques renseignements, il est possible de dégager certains des traits les plus saillants de la vie de Rose Delpla, ressortissant à son origine géographique et à son milieu socio-professionnel.
Rose Delpla provient d’une commune rurale limitrophe de Pamiers qui, après avoir connu un essor démographique jusqu’au milieu du XIXe siècle, subit un déclin qui persiste jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale. D’un peu plus de 1500 habitants à sa naissance en 1851, Verniolle n’en compte qu’un peu plus de 900 à son décès en 1924. Sa grande voisine, Pamiers, est marquée par l’essor industriel, incarné tout particulièrement par la Société métallurgique de l’Ariège. Quoique à proximité des montagnes pyrénéennes, Rose Delpla habite dans la plaine d’Ariège, zone de piémont bien desservie par les routes et le chemin de fer. Les accidents de la vie la mènent jusqu’à la métropole régionale qu’est Toulouse avant de la voir refluer vers Pamiers et sa ville natale.
Élève boursière, elle appartient à un milieu social modeste, comme en attestent les métiers de ses proches et sa propre activité de couturière. Surtout, ainsi que l’a relevé Nathalie Sage Pranchère dans le chapitre 5, « L’élève sage-femme : un portrait social », de son ouvrage : L’école des sages-femmes. Naissance d’un corps professionnel. 1786-1917 [SAGE PRANCHÈRE 2017 p. 203-232], son milieu d’origine comme ceux de ses maris est celui des petits artisans : tonnelier, cordonnier, serrurier, et non pas celui des cultivateurs, pourtant majoritaire dans ces communes rurales.
Son instruction est suffisante pour écrire sans commettre guère de fautes d’orthographe, sinon aux mots relevant du vocabulaire obstétrical ou anatomique : ainsi écrit-elle « muscles spoai » à la place de « psoas » (fol. 15r p. 23). S’il s’agit de la même main, elle a aussi pris des cours de mathématique, comme en attestent les tout premiers feuillets du cahier qu’elle réemploie pour noter son cours de maïeutique. Rappelons que l’importance accordée à l’instruction des sages-femmes se manifeste alors par un arrêté ministériel publié le 1er août 1879 qui instaure « un examen préparatoire pour les aspirantes au titre d’élèves sages-femmes de première classe qui prévoit les épreuves suivantes : lecture, orthographe, problèmes d’arithmétique et notions sur le système métrique. » [SAGE PRANCHÈRE 2017 p. 310]
Enfin, le nombre de médecins sis à Verniolle tend à laisser penser que Rose Delpla bénéficie, dans l’exercice de sa profession, d’un degré d’autonomie avancé. En 1887, deux médecins sont signalés à Verniolle, le docteur Roumingas, diplômé en 1870, et le vieux docteur Mirandol-Jean Sans, dont le titre de la thèse, soutenue à Montpellier en 1832, Essai sur les progrès, le perfectionnement et les avantages de l’art obstétrique et des motifs de préférer un accoucheur instruit à une sage-femme, n’est pas sans laisser imaginer des rapports difficiles avec la jeune sage-femme. De 1890 à 1891, ne reste que le docteur Roumingas, que rejoint en 1892 le docteur Pujol fraîchement diplômé ; ce dernier exerce seul à Verniolle de 1895 à 1899. À partir de 1900, et jusqu’au décès de Rose Delpla en 1924, il n’y a plus de docteur établi à Verniolle et il faut désormais se rendre à Varilhes ou à Pamiers pour espérer un trouver un.
La maternité de Pamiers
À la différence de la majorité des écoles, implantées dans les villes de préfecture, c’est bien à Pamiers et non pas à Foix qu’ont été mis en place des cours d’accouchements. Pour Rose Delpla, le choix de suivre des cours à la maternité de Pamiers est le choix de la proximité. Nathalie Sage Pranchère, dans le chapitre 4 de son ouvrage : « Mailler la France d’écoles », propose une typologie des cours d’accouchements en fonction des départements, selon leur degré d’ouverture vers l’extérieur et leur recours à des cours organisés hors de leurs frontières. Dans cette classification, l’Ariège appartient, avec 23 autres départements, au groupe de départements qui forment exclusivement leurs sages-femmes à l’intérieur de leurs frontières. Ils se distinguent par l’attribution de bourses soulignant « la permanence de l’importance accordée à la formation des sages-femmes » ainsi que par un « certain isolement géographique et linguistique ». [SAGE PRANCHÈRE 2017 p. 199 et 162] Bien desservie par la route et par le train, Pamiers n’en reste pas moins très éloignée de la capitale.
Si des cours ont existé sous l’Ancien Régime, qui ne se sont pas poursuivis durant la Révolution, il faut attendre 1809 pour qu’une maternité soit instituée à l’hospice de Pamiers. En 1878, l’année même où Rose Delpla suit sa formation, est institué un cours hospitalier à l’hospice de Pamiers, avec un internat [SAGE PRANCHÈRE 2017 Annexe 1 p. 424] :
« M. le professeur Allaux et le Conseil d’arrondissement de Pamiers vous prient d’accueillir favorablement une demande qui vous est adressée par l’administration de l’hospice de Pamiers, en vue d’obtenir un secours départemental de 1,500 fr. destiné à l’achat de 15 lits pour les élèves sages-femmes. Ces élèves, obligées aujourd’hui de se loger en ville, seraient logées dans la salle de la Maternité et préservées ainsi des dangers des fréquentations toujours fâcheuses auxquelles ces jeunes filles sont exposées.
Ce but est trop moral pour ne pas conquérir les sympathies de la Commission dont je suis le rapporteur. À l’unanimité elle vous propose de renvoyer, avec avis favorable, cette demande à la Commission des finances pour qu’elle étudie les moyens d’y faire droit.
Elle vous- propose également le vote au budget du crédit ordinaire de 2,000 fr. — Adopté. » [CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1878 p. 511]
Après avoir obtenu le gîte, le docteur Allaux demande l’année suivante le couvert :
« Après avoir remercié le Conseil général de l’allocation de 1,500 francs votée en principe, au mois d’avril, pour acquisition de lits destinés au dortoir de la maternité, M. Allaux exprime le désir que les élèves sages-femmes soient non-seulement couchées, mais nourries à l’hospice. Il serait possible, ajoute-t-il, d’arriver à ce résultat au moyen de l’indemnité que le département fournit aux élèves et qui, de 0 fr. 75 par jour, pourrait être portée à 0 fr. 90. » [CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1879 p. 329]
Concernant les effectifs de cette année, le rapport du docteur Allaux, professeur du cours d’accouchement, les détaille comme suit :
« 18 élèves sages-femmes ont été reçues en 1878-1879. Cinq ont obtenu le diplôme de 1re classe à Montpellier, 13 celui de 2e classe à Toulouse.
12 élèves ont suivi le 2e cours de 1878 ; onze ont participé à la subvention inscrite à cet effet au budget départemental.
Le premier cours de 1879 a été fréquenté par 14 élèves dont 3 seulement à leurs frais. » [CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1879 p. 329]
Sans présumer de son état en 1878, le fait est qu’en 1897, lors des inspections rendues nécessaires pour l’application du décret du 25 juillet 1893 qui modifie les conditions d’études des sages-femmes de 1re et de 2e classes, l’état de délabrement de la maternité de Pamiers est dénoncé :
« Des réparations urgentes s’imposent à la maternité de Pamiers. Il y aurait lieu de remplacer le pavé au 1er étage ; de refaire les waterclosets, de changer les lits qui sont en bois de tous les styles et de toutes les époques, de supprimer les paillasses des lits des accouchées en y substituant des sommiers.
L’enseignement pratique est insuffisant ; le nombre des accouchements n’est que de dix en 1894 et il paraît difficile de maintenir une école d’accouchements auprès d’un établissement où les entrées sont si peu fréquentes.
Matériel insuffisant. Pas de bibliothèque. » [CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1897 p. 34]
La maternité de Pamiers échappe alors de peu à la fermeture, avant d’être supprimée en 1916.
Quels savoirs, quelles pratiques ?
L’enseignement des sages-femmes s’appuyait sauf exception sur un manuel imprimé de référence, qui pouvait être acheté par l’élève sage-femme ou qui lui était prêté le temps de sa formation. À Pamiers, Rose Delpla tient nonobstant un cahier manuscrit, qui laisse apparaître deux parties d’à peu près égale importance (respectivement 62 et 56 feuillets).
La première partie est consacrée à l’enseignement de l’anatomie, de la grossesse et de l’accouchement. La deuxième est, elle, consacrée aux anomalies : bassins viciés, grosses extra-utérine, hémorragie, éclampsie, etc. ainsi qu’aux soins à donner aux enfants : allaitement, saignée, vaccination, etc.
Si la sage-femme doit faire appel au médecin dans les cas très graves, tel le cancer du col : « La sage-femme n’assistera pas seule une femme affectée du cancer du col. » [BANM, Ms 1192 (2063) fol. 97v p. 188], elle doit pouvoir agir de sa propre initiative la plupart du temps, par exemple en ce qui concerne les manœuvres de la respiration artificielle :
« On pratique l’insufflation de bouche à bouche ou avec un tube laryngien mais l’insufflation de bouche à bouche est préférable. On s’y prend de la manière suivante on renversera la tête de l’enfant sur un oreiller ou sur une table, on aura soin de lui pincer le nez d’une main et l’autre main on lui placera sur la poitrine. Puis on souffle légèrement dans la bouche de l’enfant on retire la main du nez et l’on serre légèrement la poitrine pour faire sortir l’air qui a déjà pénétré. On pourra souffler tant qu’on sentira las pulsations du cœur. » [BANM, Ms 1192 (2063) fol. 102r p. 197]
On ne trouve logiquement pas, dans le cours de Rose Delpla, de référence aux mesures antiseptiques, qui ne s’imposent qu’à compter des années 1880-1890 [VAN WIJLAND 2024]. En revanche, le cours porte la marque du recours aux propriétés utéro-toniques du seigle ergoté :
« Le seigle ergoté est du seigle atteint par une maladie qu’on nomme l’ergot, c’est surtout dans les années pluvieuses qu’on en observe beaucoup il est allongé, brun noirâtre, recourbé sur lui-même sa couleur est quelque fois violacée. Le violacé est le meilleur. Le seigle ergoté agit comme anti hémorragique et a la propriété de faire contracter la matrice, mais il faut le donner avec soin.
Cas dans lesquels le seigle ergoté sera administré et conditions nécessaires qu’il faut avoir.
Il faut que le col de la matrice soit bien | dilaté, les membranes rompues ; qu’il y ait bonne présentation que le bassin soit bien conformé, que les parties molles ne soient pas rigides ; et que la tête ne reste pas plus qu’une heure à franchir la vulve. » [BANM, Ms 1192 (2063) fol. 91r p. 175-fol. 91v p. 176]
Le droit au recours au seigle ergoté est ici implicite, et ne fait pas état de l’autorisation délivrée par le décret du 23 juin 1873, qui s’inspire des préconisations de l’Académie de médecine dans sa séance du 17 décembre 1872 et clôt un long débat amorcé vers 1845 [SAGE PRANCHÈRE 2017 p. 358-363] :
« 1° Malgré de réels inconvénients, le seigle ergoté offre de tels avantages dans la pratique des accouchements, qu’il y a nécessité d’autoriser les sages-femmes à prescrire ce médicament.
2° L’article 32 de la loi du 19 ventôse de l’an XI en stipulant que « les sages-femmes seront examinées par les jurys sur la théorie et la pratique des accouchements, sur les accidents qui peuvent les précéder, les accompagner et les suivre et sur les moyens d’y remédier, » leur reconnaît implicitement le droit de prescrire du seigle ergoté.
3° Ce droit est en contradiction avec les lois, ordonnances et décrets qui régissent l’exercice de la pharmacie, puisque les médecins et les vétérinaires y sont seuls désignés comme pouvant prescrire les substances vénéneuses dans le tableau desquelles figure le seigle ergoté (ordonnance du 29 octobre 1846).
4° Pour faire cesser cette contradiction, en attendant la révision de la législation, le moyen le plus simple est de prier M. le ministre de l’agriculture et du commerce de prendre les mesures nécessaires pour que les pharmaciens soient autorisés à délivrer du seigle ergoté aux sages-femmes sur la présentation d’une prescription signée et datée par elles. » [BULLETIN 1872 p. 1228]
Ce qui peut apparaître comme un autre point d’achoppement relatif à la professionnalisation et au degré d’autonomie des sages-femmes est leur capacité à recourir, seules, à l’instrumentation. La manipulation du forceps fait ainsi l’objet d’une description minutieuse sur cinq pages. Elle implique plusieurs personnes, l’accoucheur étant à la manœuvre et la sage-femme le secondant en manipulant en partie le forceps :
« Un lit élevé, résistant doit être préparé, il faut vider la vessie et le rectum, il faut trois aides, deux pour soutenir les cuisses fléchies et une autre au-dessus de la tête. La sage-femme aura fait chauffer de l’eau pour échauffer l’instrument et pour rendre son introduction plus facile, elle mettra de l’huile sur les cuillerées. Faire placer la femme sur le bord du lit, faire bien attention que le coccyx porte faux. Alors l’accoucheur se place entre les cuisses de la femme, un aide se tient à côté pour tenir les branches du forceps après qu’elles seront introduites.
Premier temps. Application des cuillerées du forceps. L’accoucheur prend la branche gauche de la main gauche, puis il introduit la main droite dans le vagin entre la tête et le côté gauche de la femme gagne enfin la face palmaire, le côté correspondant de la tête du fœtus qu’il doit sentir à nu c’est dans la face palmaire de cette main droite que doit glisser la branche gauche de la main gauche tenue comme une plume à écrire le manche porté vers la main droite, la concavité de la cuillerée regardant la vulve, puis il la porte dans le vagin. À mesure que la branche s’enfonce dans l’excavation, la main qui la pousse s’abaisse, la dirige de droite à gauche sur la ligne médiane, enfin l’incline au-dessus du niveau de l’anus, quand l’application est terminée, la sage-femme est chargée de tenir cette branche, le long de la cuisse droite est parfaitement immobile dans la position indiquée. Il s’agit ensuite d’appliquer la branche droite l’introduire à droite au-dessus de la précédente, en se dirigeant sur la main gauche portée dans le vagin. Cette partie de l’opération est terminée quand les deux branches sont aussi enfoncées l’une que l’autre. » [BANM, Ms 1192 (2063) fol. 103v p. 200-fol. 104r p. 201]
La suite est consacrée au « Deuxième temps. Articulation des branches du forceps » puis au « Troisième temps. Extraction de la tête ».
Jérôme van Wijland
Lien vers l’inventaire :
Références bibliographiques :
[BULLETIN 1872] Bulletin de l’Académie de médecine, 36e année, 2me série, tome I, 1872.
[CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1878] Conseil général de l’Ariège, 2e session ordinaire de 1878, Rapport du Préfet. Rapport de la Commission départementale. Délibérations du Conseil général, Foix, Typographie et lithographie Pomiès, 1878.
[CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1879] Conseil général de l’Ariège, 1ère session ordinaire de 1879, Rapport du Préfet. Rapport de la Commission départementale. Délibérations du Conseil général, Foix, Typographie et lithographie Pomiès, 1879.
[CONSEIL GÉNÉRAL ARIÈGE 1897] Conseil général de l’Ariège, 1ère session ordinaire de 1897, Rapport du Préfet. Rapport de la Commission départementale. Délibérations du Conseil général, Foix, Typographie Veuve Pomiès, 1897.
[SAGE PRANCHÈRE 2017] Nathalie Sage Pranchère, L’école des sages-femmes. Naissance d’un corps professionnel. 1786-1917, Tours, Presses universitaires François Rabelais, 2017
[VAN WIJLAND 2024] Jérôme van Wijland, « Correspondance – III. L’année 1891 », Site de la Bibliothèque de l’Académie nationale de médecine [en ligne]. Billet publié le 37 octobre 2024. Disponible à l’adresse : https://bibliotheque.academie-medecine.fr/correspondance-1891.
Pour citer ce billet :
Jérôme van Wijland, « Une sage-femme de l’Ariège à la fin du XIXe siècle », Site de la Bibliothèque de l’Académie nationale de médecine [en ligne]. Billet publié le 1er novembre 2024. Disponible à l’adresse : https://bibliotheque.academie-medecine.fr/ms-1192-2063.